Science et littérature
Mes chers lecteurs,
Ecrivain à mes heures perdues, je suis sans cesse à la recherche de nouveaux sujets d’inspiration me permettant de prendre feuille et crayon pour gratter ce papier qui me fait me sentir vivant.
Je profite donc de mon passage au Tourville pour vous écrire et vous présenter une de ces sources d’inspiration prenant une place intégrante dans mes réflexions et que j’ai pu de nouveau exploiter grâce aux écrivains du Livre Paris : la science.
De grands auteurs m’auront donné l’occasion d’acquérir un savoir me permettant aujourd’hui de rédiger articles, essais, nouvelles et romans. Je pense à Aristote, pour sa physique, sa métaphysique, sa poétique et sa rhétorique. Je pense aussi à Copernic et Galilée pour leurs travaux sur l’astronomie, les mathématiques et la médecine.
Et que dire d’Isaac Newton, Charles Darwin ou Albert Einstein ? Que je ne pense pas avoir besoin de présenter.
Vulgarisation scientifique
C’est ainsi que je me décidais de me rendre au Livre Paris dans le but de découvrir et d’échanger avec des écrivains scientifiques modernes, dont le grand art réside à rendre accessible à tous des sciences extrêmement complexes et évolutives.
Quelle hâte je ressentais à l’idée de découvrir ces auteurs et auteures. Tout d’abord parce que je ressens une émotion intense quand des adultes arrivent à transmettre leurs savoirs à des enfants qui, avec leurs grands yeux ébahis et empreints d’émerveillement, deviendront un jour les savants de demain.
Par ailleurs, c’est la possibilité d’apprendre et d’échanger sur des sujets divers et variés qui me rendent si impatient.
Voici une liste de ce qui m’attend pour vous donner une idée de ce qui m’intéresse : Le Groenland (Valérie Masson-Delmotte) première étude encyclopédique et enjeux stratégiques ; Tout n’est pas relatif (Etienne Klein et Charles Berberian) Peut-on expliquer l’origine de l’univers ? ; 101 Merveilles du ciel qu’il faut avoir vu dans sa vie (Emmanuel Baudoin) ; J’ai vu une fleur sauvage. L’herbier de Malicorne (Hubert Reeves) pour connaître les fleurs sauvages de nos campagnes, et Darwin, Bonaparte et les Samaritains (Michel Serres) des personnages qui scandent 3 âges de l’histoire.
Mes chers lecteurs, comment conclure autrement qu’avec cette citation de Rabelais : « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme. »
A très vite !
