L'univers de Victor Hugo
Bonjour à tous, chers lecteurs,
Plus jeune, lorsque j’étais au lycée, mes professeurs de français m’ont fait découvrir de nombreux écrivains. De ces années, je retiens surtout Victor Hugo. Les Misérables, Les Contemplations, Notre-Dame de Paris… Tant d’heures passées à lire, découvrir, étudier, sans jamais voir le temps passer. Victor Hugo jongle avec les mots, joue avec les phrases et nous emmène dans un Paris d’autrefois, une scène où les personnages prennent vie, et nous montrent leurs histoires à travers les écrits de l’auteur.
Victor Hugo a su créer en moi une passion pour la littérature. C’est ainsi, qu’il y a peu, je me décidais à aller visiter sa maison, devenue un musée. Son univers à portée de mains, j’allais, peut-être, connaître ses sources d’inspiration. J’arrivais Place des Vosges, face à la bâtisse, inondée de soleil.
Une source d'inspiration
Je fermais les yeux, et essayais d’imaginer, à l’époque de l’écrivain, les allées et venues. Je rentrais dans l’édifice. Arrivé dans l’antichambre, j’observais les meubles et toiles de la pièce. Le sol, les murs, tout me replongeait au 19ème siècle. Je continuais mon parcours vers le salon rouge. Je pensais alors aux débats enflammés qui avaient eu lieu, à l’époque, dans cette pièce. L’endroit où les artistes se retrouvaient pour parler jusqu’au bout de la nuit. Les idées prenaient formes dans les esprits et fusaient dans les airs. Continuant mon périple, je me dirigeais vers le salon chinois et la salle à manger, pièces qui illustrent le talent de décorateur de l’artiste, encore trop méconnu à notre époque. S’ensuit alors la découverte du petit salon, où des œuvres sont momentanément exposées et représentent le travail de Victor Hugo. J’allais ensuite vers Le Cabinet de travail. Un buste de l’auteur, son portrait… L’essence et l’histoire de l’écrivain sont présentes ici. Ma visite se terminer avec sa chambre, et notamment son écritoire, là où la plume glissait sur le papier pour nous faire vivre des histoires.
Finalement, en sortant de la maison, j’essayais de vivre le Paris du 19ème siècle. Je parcours la ville en imaginant les cochers, les calèches, et si je ferme les yeux et que je me concentre, j’entends presque les chevaux cavaler sur les pavés. Je pense à Victor Hugo, l’homme, l’auteur. Cet artiste dont le nom résonne dans mon esprit, et qui, justement, un jour s’exprimait en ces termes : « Le plus beau patrimoine est un nom révéré ».
A très vite !